Nouvelle fantastique : The Man Killer

Une nouvelle fantastique écrite par les élèves : "The Man Killer"

Voici une nouvelle fantastique écrite par les élèves de 4ème 2. Âmes sensibles s'abstenir !

- Es-tu sûr que c’est ici ? Demanda Mme Jones .
- Oui, car le GPS me le dit ! Lui répondit son mari.
Au détour d'un chemin sans issue, le couple vit alors se dresser une grande maison entourée d'un immense jardin.
-Ouh là là ! Tu as vu le grand parc ! Et la Maison est magnifique, elle sera parfaite pour notre bébé !
- Ah, annonça M. Jones en consultant son portable, nous avons reçu un texto de l'agent immobilier : il est un peu en retard, il arrive dans dix minutes.
- Liam, je pense que tu t’amuseras bien dans cette maison, lança Mme Jones à son bébé.
Par contre, tu as vu chéri le toit ? Il aurait besoin d'être rénové !
Alors que l'homme jetait un coup d’oeil à la toiture de la maison, une flopée de chauves-souris s’en envola. Au même moment, une vieille femme, à l’air fatigué, aux mains tremblantes et au regard légèrement fou, les interpella :
- Vous ne devriez pas acheter cette maison !
- Pourquoi ? Elle n’est pourtant pas chère et a l'air en bon état ! A part son toit...
- A l’intérieur, il s’est passé des choses horribles, laissez-moi vous raconter cette histoire !...
Les Jones, surpris, écoutèrent cette femme à l'air étrange.
« C’était un soir de novembre, les Richard avaient décidé de sortir au restaurant. Ils avaient demandé à une baby-sitter de venir garder leur fils de deux ans. Elle arriva comme prévu à 19h30.
- Emilie, il y a de la purée de patates douces dans la cuisine sur la table.Tu la mets dans le micro-onde pendant une minute. A vingt heures pile tu couches Octave et ensuite tu pourras regarder Netflix, on reviendra vers minuit, expliqua Mme Richard à Emilie.
Aussitôt après ces quelques recommandation les parents d'Octave partirent. Il était dix-neuf heures. Au dehors, la nuit commençait à tomber sur l'immense parc entourant la maison des Richard. Emilie se mit à préparer le dîner. Dix minutes plus tard elle donna son repas à Octave. Ensuite, elle laissa l'enfant jouer tranquillement sur le tapis du salon
et visita la maison. Elle fut étonnée par la grandeur des pièces. Les grandes baies vitrées laissaient entrer la lumière de la lune quelque peu dissimulée par les branches des arbres du jardin.
20h00. Emilie coucha Octave, puis elle s’installa sur le canapé et lança un film, c’était Ça, adapté d'un roman de Stephen King. Soudain, un craquement retentit. Au dehors,des branches tombaient sous la force du vent. Quelque temps plus tard un frisson la  parcourut. Elle alla chercher une couverture quand elle crut percevoir une présence... La
jeune fille se sentait de plus en plus oppressée, elle avait l'impression d'être... observée !...
Elle partit se blottir sur le canapé dans l’idée d’oublier cette désagréable impression. C'est alors qu' elle vit un reflet dans la télévision, ce reflet semblait être celui d'un grand mannequin noir. Mais ce n’était pas tout : il portait un masque de clown !... Elle se retourna, mais il n'y avait rien derrière elle... Sans doute la fatigue commençait à lui jouer des tours...
Soudain, l'horloge du salon sonna minuit. Au même moment, l’éléctricité fut coupée.
Peu rassurée, Emilie se leva du canapé. D’un coup, des hurlements déchirants retentirent dans toute la maison. Puis, plus rien... Les jambes tremblantes, la jeune fille se précipita dans la chambre de l’enfant. Arrivée sur place, Emilie vit un spectacle à glacer le sang même si celui du bébé était encore chaud. Un mannequin noir sortit de l’ombre, le même
que celui du reflet dans la télévision ! Les seules couleurs qu’il portait se trouvaient sur son masque de clown qui fixait atrocement Emilie. Avec son couteau ensanglanté, le mannequin commença à marcher vers elle.
Prise de panique, Emilie sortit précipitamment de la chambre d'Octave. Elle dévala les escaliers et ouvrit la porte principale donnant sur le jardin. Avant de sortir, elle se retourna et vit le mannequin descendre les escaliers à grands pas. Ses mains étaient couvertes du sang du bébé. Mais était-ce un homme ou un mannequin ? Sans aucun doute,
c’était bien un mannequin. La peur au ventre, elle commença à courir droit vers le portail.
Elle courut à en perdre haleine mais trébucha et se retrouva par terre. En entendant le mannequin s’approcher et se pencher sur elle, Emilie sentit que sa fin était proche mais, rassemblant ses dernières forces, elle lui échappa de justesse et reprit sa course folle. Le coeur battant, elle franchit le portail et disparut dans la nuit noire. »
Monsieur et Madame Jones n’en revenaient pas. L'histoire qu'ils venaient d'entendre était tout simplement horrible. Tout à coup, une voiture noire s’arrêta devant eux. La veille femme s'enfuit aussitôt. Un homme sortit de la voiture, s’approcha du couple.
- Bonjour, je m’appelle Monsieur Poisson, déclara-t-il, je suis votre agent immobilier, désolé pour le retard il y avait des bouchons sur la quatre voies... Oh, décidément, cette maison est toujours aussi magnifique !... Mais, j’ai cru vous voir discuter avec une vieille femme?...
- Oui, effectivement, elle nous a parlé d’une vieille his...
- Je vous arrête tout de suite ! Les coupa M. Poisson, dont le regard était subitement devenu noir. Ne l’écoutez pas, continua-t-il, c’est une vieille folle qui raconte des histoires pour faire fuir les nouveaux propriétaires... Il paraît qu'il y a bien lontemps elle aurait été baby-sitter dans cette maison.
- Et comment s’appelle-t-elle ? L'interrogea Mme Jones.
- Oh, je ne sais plus trop, c’est un nom où il y a un « i » je crois... Sandy ?... Emy ?... Non je ne sais plus... Ah si, c’est bon, je me souviens : elle s’appelle Émilie !...

 

Par les élèves de 4ème 2

UNES FUTURISTES en 3ème 1

Après une séquence en français intitulée" L'homme et le monde de demain", les élèves de 3ème 1 sont heureux de vous présenter les UNES FUTURISTES qu'ils ont imaginées en groupes, sur I-PAD. Bonne lecture !

 

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